• Accueil
  • /
  • New York en 3 jours… ou 4
New York depuis le One World Observatory

New York en 3 jours… ou 4

Et en fait 2 fois ! Car, si la première visite s’était faite à l’occasion d’un voyage en Floride, la seconde s’est faite au retour d’un voyage dans l’Ouest Américain.

En fait, non, mise à jour de 2022 : 3 fois ! Nous avons terminé notre voyage Canada & USA à New York.

Pourquoi 3 jours à New-York ?

Eh bien, en 2012, devant effectuer une correspondance à New-York pour aller écumer les parcs à thèmes d’Orlando, nous nous sommes dit : « Pourquoi ne pas y rester un petit peu ? »
En 2018, même réflexion mais avec l’ouest 😉

En 2022, c’était la fin de notre périple.

Pourquoi ce blog ?

Pour préparer cette visite, j’ai été très heureux de trouver des blogs de ce genre. Donc, vu que le voyage s’est très bien passé grâce à eux, je me suis dit que j’allais contribuer également…

Voici donc le contexte du (premier) voyage

Deux adultes, deux enfants de 7 et 12 ans. Le but est de faire du pur touriste, à savoir visiter les endroits les plus connus de New-York pour en prendre ‘plein la vue’. Compte tenu du temps qui nous est imparti, et de l’intérêt des enfants, on a éliminé les musées… enfin, tous sauf un.
Nos dates de voyage étaient du 19 Février 2012 au 21 Février 2012, donc on s’attend à du froid, mais on espère pas de pluie ou de neige vu que l’on va passer du temps dehors…

Et le contexte du second

Toujours deux adultes mais les enfants ont grandi, ils ont maintenant 14 et 18 ans. Nous comptons cette fois profiter du fait que nous faisons le voyage en août pour explorer encore plus la ville elle-même et beaucoup se promener dans les rues. En 2012, c’était en hiver, et il faisait froid, on allait plutôt d’un point à l’autre et l’on n’a pas « flâné ».

Et du troisième

Nous sommes 5 cette année car Julie est avec son copain. Mais toujours en famille donc ! 🙂
C’est l’été, comme le second voyage et l’on compte donc bien se promener et aussi profiter des nouveautés.

Quand partir et réserver ?

Quand je dis quand… c’est à un ou deux jours près, parce que les dates du voyage (New York + Orlando), c’est simple : vacances scolaires février 2012 de Paris. On s’attend à avoir peu de monde, par contre nous sommes un peu inquiets pour le temps. Autant c’est la période idéale pour la Floride, autant à New-York, on peut s’attendre à tout !
En 2018, c’est plein mois d’août, donc on s’attend à avoir du monde avec nous et pas mal de chaleur.
Finalement, il ne s’agit pas ici de donner des conseils sur la meilleure période pour visiter New-York, mais de partager notre expérience à ces dates.

Je vous laisse vous amuser avec les tarifs des billets d’avion qui changent d’un jour à l’autre, dans un sens comme dans un autre. C’est un vrai bonheur en tant que consommateur… 🙁 Le jour où on achète le billet on ne regarde plus les sites de réservation de peur de constater qu’il a baissé de 50% (j’exagère à peine).
Là, je ne donnerai pas d’adresses de sites qui sont censés vous dire à quelle date acheter vos billets car on a constaté que les conseils n’étaient pas forcément avisés (du genre « achetez vos billets 6 semaines avant le départ »… oui, ben j’ai vérifié 6 semaines avant, c’était plus cher que quand je les ai achetés….).

N’achetez pas pendant des vacances scolaires !


Bref, le seul conseil : n’achetez pas pendant des vacances scolaires. Je m’explique : On avait commencé à regarder les prix avant les vacances de la Toussaint. On hésitait à passer à l’achat si tôt. Pendant les vacances les prix ont doublé… d’environ 2000 € on est passé à 4000 € ! Après les vacances, on est redescendu à 2700 € environ. Je parle d’un billet pour 4 Paris – New-York – Orlando – Paris.
Aïe, nous aurions bien aimé payer ces prix-là en 2018 ! Il a fallut rajouter 500 €, pour aller en Californie. Et 400 € pour le vol Delta San Francisco – New-York. Oui, car à la différence de 2012, ce n’est pas une escale, nous avons pris un vol intérieur supplémentaire. Les vols intérieurs ne sont pas chers mais tout est en option : les bagages et même le placement si l’on veut être ensemble. Nous n’avons pas pris cette dernière option et avons quand même été placés ensemble.
J’ai un peu digressé là (oui, et encore en 2018 😉 )…
Au final : vous voulez partir le Samedi ? C’est le plus cher ! Partez le Dimanche !
Pub positive : Air France a un vol qui part à 8h30 et qui arrive donc à 10h30. A midi, vous êtes à Manhattan et pouvez profiter de la moitié de la journée.
Pub négative : Par contre, c’est Air France… Je vais être méchant, mais vu que les pilotes étaient en grève quelques jours avant et n’ont décidé de ne pas reconduire le mouvement que 3 jours avant notre départ, on étaient légèrement ‘tendus’…
En 2018, nous sommes passés par British Airways, en faisant donc une escale à Londres. J’y reviendrai, nous avons été très agréablement surpris par le service client de British Aiways.

Acheter des tickets à l’avance

Alors, on trouve beaucoup de sites qui vous conseillent de prendre vos billets à l’avance pour monter à l’Empire State Building, au Top of the Rock, à la Statue de la Liberté, etc…
Le but est de ne pas faire la queue le moment venu et/ou d’avoir le créneau horaire souhaité.
Le problème est que réserver sans savoir le temps qu’il va faire par exemple, je trouve ça dangereux. En effet, si l’on prend un ticket pour le Top of the Rock et que le jour J il y a du brouillard, c’est mauvaise pioche…
Du coup, nous avons seulement réservé pour la Statue de la Liberté car il y a un billet valable 3 jours sans surcoût.
Pour le reste, on a pris le billet sur place. Comme, en 2012, ce n’était pas une période haute saison, je suppose que ça a aidé.
En 2018, ça marche toujours pour le One World Observatory si l’on ne veut pas faire la queue et s’assurer de son horaire. Pour le musée du 11 septembre, la veille pour le lendemain suffit.

En 2022, nous avons aussi réservé le SUMMIT One Vanderbilt mais seulement quelques jours à l’avance, une fois que nous étions certains de la météo.

Comment se rendre à son hôtel ?

A partir de l’aéroport, on peut aller à Manhattan en taxi, en bus, en métro, en navette, etc…
Au début, la navette me semblait intéressante. Mais, après avoir fait le tour des forums, soit on en prend une personnelle et ça peut aller mais c’est cher, soit on en prend une partagée mais si on risque de faire le tour de Manhattan pour déposer les autres clients… En plus, la ponctualité semble quelques fois ‘variable’.
J’ai lu que le taxi pouvait mettre 1h pour faire le parcours. Du coup, le métro semblait intéressant. Pareil, les témoignages disent qu’il y a quand même des correspondances, avec des escaliers, etc… et qu’après 8h de vol, c’est moyen…
Bref, on s’est rabattu sur le taxi. Depuis JFK, c’est un tarif fixe de 45$ (péage et ‘tip’ non inclus). Eh bien ça s’est très bien passé ! En arrivant un dimanche midi, on avait le choix du taxi, pas de queue et le trajet a pris à peine une demi-heure. J’aurais donc tendance à conseiller le taxi.
En 2018, le taxi marche toujours pour très bien pour JFK. Par contre nous repartons de Newark et là c’est bien moins simple pour ne pas dire infernal. Nous prendrons quand même le taxi.

Metrocard

On va pas mal marcher mais on va quand même prendre les transports en commun. Manifestement, le sésame, c’est la Metrocard. La question est : laquelle prendre ?
Il semble qu’il fut un temps, il existait une carte illimitée pour moins de 7 jours. Là, je n’ai rien trouvé à moins de 7 jours… Du coup, on se rabat sur la MetroCard en version ‘Pay per ride‘. On charge la carte avec le montant que l’on veut et à chaque passage on est débité du montant du voyage. L’avantage, c’est que l’on peut passer à quatre sur la même carte.

En 2022, les choses sont plus modernes, on peut faire plus simple.

ESTA

Dites… vous avez bien fait votre demande ESTA, n’est-ce pas ?
Pour pouvoir rentrer sur le territoire américain, en plus d’avoir un passeport qui va bien, il faut faire cette demande sur internet. Ca vous dit immédiatement si vous avez le droit ou non d’entrer. Autant dire que c’est à remplir avec soin ! En plus c’est payant…

Utiliser le nom écrit sur le passeport


Un ami avait vu la demande de sa femme initialement rejetée, puis acceptée quelques temps plus tard. Ca venait visiblement des problèmes entre le nom marital et le nom de jeune fille. Pour faire simple, on a utilisé le nom écrit sur le passeport aussi bien pour la réservation des billets d’avion et la demande ESTA. C’était de la forme « Toto épouse Tata » dans notre cas. C’est passé comme une lettre à la poste.

Bon, ben, on sait quand partir, on a les billets, on sait comment aller à l’hôtel, on sait quoi visiter.
On y va maintenant !

Retour au début