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Chutes du Niagara

Côte Est – Canada et USA

A l’Est du Canada et des USA

La famille est à nouveau réunie (ce n’était pas le cas en Tanzanie) pour un voyage.

Nous n’avons que deux semaines, ce sera court et nous allons donc devoir aller à l’essentiel. Peu de place pour des étapes reposantes donc.

Le programme : Montreal, Toronto, Washington DC, Philadelphie et New York.

La logique aurait voulu que l’on aille de Toronto à New York puis descendre. Cela aurait fait une étape de route et nous aurais fait perdre une journée. Nous avons donc décidé de prendre l’avion de Toronto à Washington DC puis remonter sur New York via Philadelphie.

Itinéraire

Cela donne l’itinéraire suivant :

De Montréal à New York

Toronto, ce n’est pas à côté de Montréal… Pour y aller, plusieurs options : voiture, avion ou train. Nous avons choisi le train pour changer un peu. Il faut compter environ 5h30 ce qui nous fera arriver à 23h30 à Toronto en partant à 18h. L’avantage est que l’on n’a pas besoin d’arriver des heures à l’avance à la gare.

Les transports

Nous allons utiliser presque tous les modes de transport lors de ce voyage (même le bateau aux chutes du Niagara mais ça ne compte pas)

Avion

Paris – Montreal et New-York – Paris

Une fois n’est pas coutume, les vols directs Air France étaient abordables. Nous avons toujours l’angoisse de la grève (en 1998, elle s’était terminée 3 jours avant notre départ, stress maximal…) mais en cette période post-Covid, il semble que Air France fasse partie des compagnies qui s’en sortent le mieux. Nous ferons donc tourner la compagnie nationale !

Le vol retour part à 23h55 de JFK (moins pratique que La Guardia, mais bien mieux que Newark qui est un cauchemar) donc nous pourrons en plus profiter de toute la journée.

Toronto – Washington DC

Air Canada pour ce vol. C’est notre première expérience… et ce sera moyen

La théorie

Nous avions réservé un vol en fin de matinée, c’était parfait : pas la peine de se lever en pleine nuit pour arriver 3 heures en avance à l’aéroport et arrivée à midi comme ça on peut profiter de l’après-midi.

La pratique

Notez que je parle au passé… Oui, car Air Canada nous a ensuite informé que le vol était annulé. En fait, après vérification, c’est ce créneau qui semble ne plus exister. Résultat : nous devons nous rabattre sur le vol de 7h. Sachant que l’aéroport Pearson est dans les pires au niveau du temps nécessaire pour enregistrer, il faut arriver là-bas vers 4h du matin. Aïe.

Evidemment, pas de transports publics à cette heure-là donc nous paierons un taxi au prix fort.

La galère de l’aéroport Pearson

Sur place, c’est effectivement le cauchemar : des files d’attentes dans tous les sens. Heureusement, nous avons nos passeports et pouvons les scanner aux bornes pour enregistrer nous-mêmes et ne pas faire la queue devant les rares guichets ouverts. Oui… mais non ! Car le passeport de Nathalie ne passe pas. Je pense que c’est parce qu’elle est enregistrée sur le vol avec son nom alors que c’est son nom de jeune fille suffixé de « ep. XXXX » qui apparait sur le passeport.
Moralité : Bien respecter le nom écrit sur le passeport !

Nous voilà donc à attendre dans la file que nous a indiquée une hôtesse aimable comme une porte de prison. L’heure tourne et l’on commence à être inquiet. J’essaie d’aller à un guichet « famille » mais on m’éconduit car « famille » veux dire « jeunes enfants ». Retour à la file.
Puis l’hôtesse passe dans les rangs pour demander qui doit embarquer à 6h45. C’est notre cas. Elle nous envoie alors… au guichet famille ! Là, tout se passe en un éclair, ouf !

Mais ce n’est pas terminé : il faut maintenant passer la sécurité et l’immigration. Oui, car l’immigration entre le Canada et les USA se fait sur au départ et non pas à l’arrivée.
Il y a encore une file interminable. Nous montrons notre carte d’embarquement et l’hôtesse nous fait court-circuiter une partie de la file.

Le reste se passera sans accroc et nous arriverons à temps à porte d’embarquement.
Enseignement: l’aéroport Pearson n’a pas volé son classement dans le top 3 des aéroports qui souffrent des plus longues files d’attente. Si l’on n’arrive pas au moins 3 heures avant et que l’on ne parvient pas à enregistrer ses bagages aux bornes, il n’y a aucune chance d’avoir son avion sans l’intervention des hôtesses qui vous permettent de court-circuiter les files.

Aéroport Ronald Reagan

Un petit mot sur l’aéroport Ronald Reagan à Washington DC.

Nous avons choisi cet aéroport car il est très proche du centre ville. En arrivant, on passe littéralement au-dessus du Lincoln Memorial. La livraison des bagages est ultra-rapide et nous voici dehors pour aller au métro.

Un avion au-dessus du Lincoln Memorial

Cet aéroport est vraiment un bon choix.

Métro

Washington DC

Pour aller à notre hôtel depuis l’aéroport, nous prendrons le métro. C’est facile, deux lignes y vont en à peine 40 minutes.

Facile…

Déjà, il faut trouver le métro ! Nous nous sommes peut-être mal pris, mais une fois dehors impossible de trouver la station à l’aéroport. Nous demandons à un employé qui s’occupe des taxis et il nous indique la route. Ce n’est pas loin.

Maintenant il s’agit de prendre un ticket. Et là, il faut avoir un doctorat de physique nucléaire !
Je veux prendre la carte mais la machine m’annonce $8 alors que Citymapper me dit qu’il n’y en a que pour $2,85. Après avoir tâtonné, je me rends au guichet. Là, immédiatement, l’employé envoie un de ses collègues nous aider.
Il nous demande où nous voulons aller et sélectionne la carte à $8 mais il fait ensuite baisser le prix avec les boutons adéquats pour atteindre les $2.85. Si je comprends bien, il faut donc savoir où l’on va pour en déduire le prix et ensuite mettre le montant correspondant sur la carte.

Une fois dans le métro, pas de problème, nous arrivons à la gare qui est à 5 minutes de notre hôtel.

New-York

A New-York, nous avons prévu de prendre la Metrocard comme d’habitude. Sauf qu’il semble que l’on ne puisse plus passer à quatre dessus… Comme nous n’allons pas faire beaucoup de voyages, nous prenons une carte au trajet et pas l’abonnement 7 jours.
Mais, aux machines, un coup ça marche, un coup la carte de crédit est refusée. Des touristes à côté de nous ont le même problème. En combinant avec du paiement en cash, on y arrive.
Aux portillons, on remarque le contactless… En fait, il suffit de passer sa carte de crédit et ça marche… Bon, nous consommons le crédit de la Metrocard et ensuite nous n’utiliserons plus que le contactless, bien plus pratique. J’ai manqué de préparation sur ce coup…

Bus

Oui, il y a quand même eu un peu de bus pour aller de l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal au centre-ville. Il s’agit du bus 747 et il est très pratique car il dispose de sa propre voie sur l’autoroute et fait plusieurs arrêts en centre-ville.

Train

De Montréal à Toronto

Entre Montréal et Toronto, nous avons donc choisi le train. C’est bien plus économique la location de voiture ou l’avion et plus pratique car il n’est pas nécessaire d’arriver tôt à la gare ce qui compense la durée du trajet (5h30). Comme nous avons choisi des hôtels proches des gares à Montréal et Toronto, tout devrait bien se passer. En plus, le train, c’est pas mal ! (comme dirait Philippe Gougler)

Oui, mais quel train !

Nous sommes manifestement tombé sur un vieux, d’après une voyageuse qui semble habituée. C’est un tas de tôle avec des sièges d’une autre époque. Les vitres sont tellement sales que l’on ne voit presque pas à travers. Ce n’est pas grave, il n’y a de toute façon rien à voir. Les photos sur Via Rail ont été prises dans un autre train…

Nous qui pensions passer un bon moment en admirant le paysage avant qu’il fasse nuit, nous nous retrouvons à endurer ce trajet en regardant nos montres.

Tout se passera bien mais nous ne sommes pas certains de vouloir recommencer.

Taxi

Pour aller de l’hôtel à l’aéroport de Toronto, nous avons pris un taxi commandé via l’hôtel.

Nous avons voulu faire pareil à New-York mais l’hôtel nous annonçait environ $150 (sans le pourboire). Normalement, il y a un prix fixe entre Manhattan et JFK de $52. Dans notre cas, ça ne pouvait pas s’appliquer car nous étions 5 avec des valises et il nous fallait absolument un minivan. Sur le site de l’aéroport, la société Carmel Limo est mentionnée, nous sommes passés par elle. Tout s’est très bien passé et le trajet n’a couté que $80 (sans le pourboire).

Pour aller au Steven F. Udvar-Hazy Center, nous sommes passés par Uber. Il nous fallait un UberXL, qui est loin d’être donné, mais pas le choix.

Voiture

De Washington DC à New-York, nous prendrons une voiture. Nous la prendrons en partant de Washington et la rendrons à New-York, car il n’est pas nécessaire d’avoir une voiture dans ces deux villes. Ca encombre plutôt qu’autre chose.

En fait, après coup, nous aurions du la prendre la veille de notre départ. En effet, pour aller au Steven F. Udvar-Hazy Center, c’aurait été l’idéal car il est très loin et impossible d’y aller en transports. Le taxi coutant TRES cher, c’aurait été plus économique. A retenir.

Hertz et la galère

Par rapport à nos précédentes expériences, nous voulions passer par un loueur qui a une bonne présence aux USA. De plus, nous voulions des agences en ville aussi bien à Washington qu’à New-York. Hertz cochait toutes les cases.

Nous sommes 5 adultes cette année avec chacun une valise. Deux options s’offrent à nous : minivan ou SUV extra large. Nous avons décidé de nous faire plaisir et avons choisi le SUV extra large. Ce sera un Suburban ou équivalent : 7 places et un grand coffre.

Je dois prendre la voiture à 8h et à 7h je reçois un mail qui me dit qu’en raison de la taille de leur garage, ils n’ont pas ce modèle de véhicule. C’est une blague !!?? Une heure avant de récupérer ma voiture j’apprends que je ne l’ai pas !!??

C’est très remonté que j’arrive chez Hertz… On me propose un minivan qui traine dans le coin. Ok, ça rentrera mais ce n’est vraiment pas ce que l’on souhaitait. Hertz nous fait une remise et l’on doit bien s’en contenter car il n’y a pas d’autre solution.

Pas de Android Auto ou de Car Play, tout juste du Bluetooth, une prise USB pour tout le monde, c’est archaïque… Mais le manager Hertz me dit qu’il a trouvé un Suburban à l’aéroport Ronald Reagan et que je dois demander le manager de l’agence, Phil, pour qu’il me le donne. Super ! On y va !

Oui mais… Phil n’est pas là… L’hôtesse Hertz n’est pas aimable et m’explique que l’autre agence n’a qu’à se débrouiller et que c’est pas son problème à elle… C’est alors que finalement Phil arrive. Malheureusement, il n’a pas de Suburban, qui est déjà réservé. Il nous trouve un Ford Expedition, mais pas max. C’est à dire 7 places mais pas de grand coffre. Cela dit, il est quand même immense et bien plus confortable que le minivan. Les 4 ados tiennent sans problème à l’arrière et en rabattant la dernière rangée toutes les bagages tiennent. Côté équipement, c’est le jour et la nuit : Android Auto (en Wi-Fi) sur un grand écran, prises USB, etc. Nous passerons un super moment dans cette voiture.

Pour compenser, Phil m’a inclus l’essence donc pas besoin de faire le plein avant de la rendre. C’est très appréciable. Le manager de la première agence s’engage aussi à me faire 20%. Oui… sauf qu’au moment de la rendre, la responsable de l’agence de New-York ne verra pas ce discount et elle parviendra à me faire 10% en prétendant que je suis un Frequent Flyer Air Canada mais pas plus.

Résultat des courses : nous avons frôlé la cata mais au final nous avons eu un super véhicule même si ce n’était pas la catégorie que l’on avait demandée. Les solutions se trouvent en fonction de la compétence et du bon vouloir des responsables d’agence. Reste quand même qu’il est incroyable qu’une agence comme Hertz s’aperçoive seulement une heure avant qu’elle n’a pas le véhicule du client !

Au final, prendre des agences en ville est quand même très pratique (au bémol de la taille de leur garage) : 10 minutes à pied de l’hôtel à Washington et 5 à New-York.

Vélo

Les services de vélo en libre service nous permettrons de visiter des sites distants sans s’enfermer dans des bus ou métro.

Les services de Montréal et Washington DC nous aurons bien aidé et sont très pratiques.

Montréal

A Montréal, le Bixi est très répandu. Il y a des stations partout.

C’est très simple d’utilisation : on télécharge l’appli, on crée son compte, on enregistre sa carte bleue et l’on n’a plus qu’à scanner le QR d’un vélo pour qu’il se débloque. L’application permet de localiser les stations, de savoir combien il y a de vélos et combien de places libres. C’est très pratique.
On peut réserver 2 vélos avec un seul compte.

Côté tarif, c’est 1$ à chaque course et ensuite on paie 15 centimes la minute. L’un dans l’autre, c’est assez cher quand même quand on pédale beaucoup. En plus, si l’on enchaine les trajets, c’est 1$ à chaque fois, ça peut aller vite.

Washington DC

A Washington, le Mall est immense, le bassin est grand et l’on veut aller à Georgetown. Le vélo est tout indiqué.

C’est Capital Bikeshare, mais c’est en fait la même société que Bixi derrière. Du coup, le fonctionnement est identique, sauf qu’ici c’est un vélo par compte, et l’application très proche. C’est tout aussi pratique à utiliser.

A noter toutefois qu’il existe ici un forfait à la journée. Pour $8, on ne paie pas de frais à chaque trajet et 45 minutes sont incluses pour chacun d’eux. Si l’on enchaine les trajets, c’est bien plus économique que le Bixi.

Hôtels

Pour les hôtels, nous avons cherché en centre-ville, pour pouvoir faire un maximum de choses à pied et comme nous sommes 5, et que les ados ne veulent pas dormir avec les parents, nous avons cherché des chambres avec deux pièces si possible ou alors 3 chambres (mais ça fait grimper la note…)

Pour les réservations, comme toujours, nous privilégions le site de l’hôtel directement s’il présente la même flexibilité que des plateformes comme Booking et des tarifs équivalents.

Montréal

A Montréal, nous voulons être proches de la gare car nous prendrons ensuite le train et avec les valises ce sera plus pratique. Ca tombe bien, elle est en centre-ville.

Nous avons pris, en direct, le Square Phillips car il propose des chambres immenses qui sont carrément des appartements avec cuisine et deux chambres séparées. C’était parfait.

Toronto

A Toronto, pareil, nous voulons être proches de la gare car nous arriverons par le train à minuit. Autant marcher le moins possible avec nos valises à cette heure-là. Là aussi elle est en centre ville.

Nous sommes passés par Booking pour 3 studios à l’Executive Hotel Cosmopolitan.

Washington DC

Nous voulions un hôtel proche du Mall car c’est là que nous allons passer une grande partie de notre temps.

Nous avons pris 3 chambres, via Booking, au Phoenix Park Hotel. Il est proche du Capitol et en plus à deux pas de gare, qui est la station où nous mènera le métro. L’agence Hertz où nous prendrons la voiture n’est aussi qu’à 10 minutes en vélo.

Philadelphie

A Philadelphie, Julie a craqué pour un loft sur 3 étages avec terrasse. Il est proche du Museum of Art et permet d’avoir 3 chambres séparées. C’est un Sonder (genre de AirBnB) donc pas exactement un hôtel.

Il nous faudra juste trouver où garer la voiture.

New-York

C’est notre troisième séjour à New-York et nous voulions changer de quartier après être allé à Times Square puis dans le Lower East Side.

Nous avons choisi le Arlo Midtown qui avait l’air très sympa avec son rooftop et sa vue sur l’Empire State Building. Nous avons pris 2 chambres, dont l’une avec une terrasse. Du coup, Thomas devra supporter mes ronflements… car 3 chambres, c’était vraiment trop cher. En plus, l’agence Hertz est à 5 minutes à pied.

Restaurants

Nous nous attendons à la cure de fast food comme toujours en Amérique du Nord. Cela dit, comme nous avons une cuisine dans certains hôtels, notamment Philadelphie, et des terrasses, nous pourrons certainement nous faire à manger de temps en temps.

Pour les petits déjeuners, ils ne sont inclus qu’à Montréal. Les enfants sont fans de Dunkin Donuts, il s’agira donc de trouver des donuts tous les matins dans les autres villes.

Les donuts du matin
Les donuts du matin

Nous avons quand même prévu quelques extras : le restaurant de la CN Tower à Toronto et celui du Sheraton Fallsview aux chutes du Niagara.

Réservation d’activités

Nous allons beaucoup nous balader et visiter un peu au fil de l’eau mais il y a quelques activités qu’il faut réserver. Pour certaines, il faut s’y prendre à l’avance.

  • Chutes du Niagara : Nous sommes passés par GetYourGuide pour une excursion en car au départ de Toronto (au deux pas de notre hôtel)
  • Six Flags Great Adventure : Nous avons pris des billets pour le jour prévu afin de ne pas perdre de temps à l’entrée. Pas de Flash Pass qui est vraiment beaucoup trop cher, de plus il avait été inutile à Magic Mountain. Là aussi, un mardi au mois d’août, il n’aurait servi à rien, il n’y avait personne dans le parc.
  • SUMMIT One Vanderbilt : Pour la tour Vanderbilt, nous avons réservé quelques jours à l’avance le temps de s’assurer que le temps sera beau. Il ne faut cependant pas trop trainer car les créneaux au coucher du soleil se remplissent vite. Certains étaient déjà pris. Dans notre cas, nous avons réservé 5 jours avant.

ESTA, AVE, ArriveCAN, etc.

En cette période post-Covid, il y en a des formalités à remplir !

Il y a déjà les habituels ESTA et AVE pour entrer respectivement aux USA et au Canada.

Rien de bien compliqué, il faut remplir les informations demandées. Attention cependant, pour les femmes mariées, il est conseillé d’indiquer le nom identique au passeport, comme « Dupont ep. Durand » par exemple. Et il faut payer aussi, bien entendu… d’ailleurs le tarif de l’ESTA a sérieusement augmenté.

Il faut les certificats de vaccination pour le vol mais aussi pour ArriveCAN où il faudra les télécharger. Je suppose que les informations se transmettent électroniquement car on ne nous à rien demandé à l’arrivée à Montréal. Il était indiqué que des tests Covid aléatoires pourraient être pratiqués, nous n’en avons pas vu.

Pour les USA, il était demandé de remplir et d’imprimer un formulaire… qui ne nous a pas non plus été demandé.

A noter que Air France a lancé un programme Ready2Fly qui permet de donner à l’avance toutes les informations, orientées Covid, nécessaires au voyage afin d’accélérer l’enregistrement à l’aéroport.

Cartes bancaires

Comme toujours à l’étranger, nous utilisons au maximum notre carte Revolut qui permet de ne pas payer de frais sur les achats en devises étrangères.

Cette année, Thomas avait également sa carte Boursorama Ultim qui offre les mêmes services.

Je pense que l’on a vraiment beaucoup économisé en les utilisant car nous avons quasiment tout payé par carte, sauf la location de voiture pour bénéficier de l’assurance Visa Premier. Dans le même ordre d’idées, nous avons réservé les hôtels avec la carte Visa Premier pour bénéficier des assurances annulation mais nous avons réglé sur place avec les cartes Revolut ou Boursorama Ultim.

Bon, je crois que l’on a fait le tour, tout est prêt, il est temps de partir pour Montréal !

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