Le probl\u00e8me, c’est qu’il y a vraiment beaucoup de monde<\/p><\/blockquote>\n\n\n\n
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La file avance relativement vite et nous voil\u00e0 dans le mus\u00e9e. Le probl\u00e8me, c’est qu’il y a vraiment beaucoup de monde<\/strong>… Et l’architecture des salles fait que bien souvent nous devons faire la queue, agglutin\u00e9s<\/strong>, pour entrer dans une et encore pour passer devant les divers objets. C’est tr\u00e8s d\u00e9sagr\u00e9able<\/strong>, on se marche dessus<\/strong>.<\/p>\n\n\n\nNous court-circuitons certains endroits pour nous sortir de la foule<\/strong>. Heureusement la salle qui reconstitue la chronologie des \u00e9v\u00e8nements<\/strong> est spacieuse et l’on peut \u00ab\u00a0revivre\u00a0\u00bb ce dramatique \u00e9v\u00e8nement dans de bonnes conditions.<\/p>\n\n\n\nIl est dommage qu’un syst\u00e8me de r\u00e9servation ne soit pas en place pour contr\u00f4ler le nombre de personnes dans les salles car cela nuit totalement \u00e0 l’\u00e9motion<\/strong> qu’un tel endroit devrait faire ressentir. M\u00eame si les quelques histoires personnelles<\/strong> qui sont d\u00e9crites ne laissent pas indifferent<\/strong>.<\/p>\n\n\n\nNous terminons la visite par le visionnage d’un film qui s’int\u00e9resse \u00e0 ce que sont devenus certains rescap\u00e9s et au devoir de m\u00e9moire entrepris par les g\u00e9n\u00e9rations plus jeunes.<\/p>\n\n\n\n