<\/a><\/figure>\n<\/figure>\n\n\n\nLa premi\u00e8re est pour Nathalie : combien a-t-elle d’enfants. Elle r\u00e9pond deux, Julie n’est pas avec nous, et les femmes applaudissent.<\/p>\n\n\n\n
La seconde est pour moi : combien ai-je de femmes<\/strong> ? Euh… eh bien, une seule ! Les femmes semblent \u00e9tonn\u00e9es ! Elles me demandent pourquoi. J’explique au guide que dans notre pays il est interdit d’avoir plus d’une femme. L’une d’elle commente : \u00ab\u00a0Eh bien j’aimerais bien vivre dans votre pays\u00a0\u00bb. Il semble que la polygamie ne soit donc pas forc\u00e9ment appr\u00e9ci\u00e9e des femmes… Pour terminer sur une note d’humour, je dis au guide qu’en r\u00e9alit\u00e9 les hommes peuvent avoir plusieurs femmes mais que dans ce cas ce n’est pas officiel<\/strong> et qu’il ne vaut mieux pas que la femme officielle soit au courant. Ca l’amuse et quand il traduit \u00e7a amuse <\/strong>aussi beaucoup les femmes.<\/p>\n\n\n\nNous sortons de la hutte. Ce fut un moment d’\u00e9change<\/strong> tr\u00e8s agr\u00e9able et int\u00e9ressant. Une femme touche les longs cheveux<\/strong> de Nathalie et manifestement les appr\u00e9cie. Les leurs sont coup\u00e9s tr\u00e8s courts, pratiquement ras\u00e9s.<\/p>\n\n\n\nFemmes et enfants Datoga<\/figcaption><\/figure>\n\n\n\nA l’ext\u00e9rieur, nous faisons quelques photos<\/strong>. Les femmes et les enfants, puis nous les rejoignons, avec Athman, pour nous immortaliser tous ensembles.<\/p>\n\n\n\nNous retournons au Kisima Ngeda<\/strong> pour d\u00e9jeuner puis il s’agit de r\u00e9gler l’addition. L\u00e0, quelques surprises… Les boissons que l’on nous avait propos\u00e9es \u00e0 table sont en suppl\u00e9ment. Bon… Leur tarif est juste trois fois celui de Arusha. Bon… Et quand il s’agit de payer, pas de carte. Ok, c’est compr\u00e9hensible, on est quand m\u00eame au milieu de nulle part<\/strong>. On peut payer en dollars ? Oui, mais il faut faire l’appoint car ils n’ont pas de monnaie, mais moi non plus. On peut compl\u00e9ter avec des shillings ? oui, mais \u00e7a ne suffit pas. Et des euros, oui aussi. Bref, je termine avec un cocktail dollars\/shillings\/euros.<\/p>\n\n\n\nAlors, le personnel \u00e9tait sympathique, mais nous quittons ce camp avec un sentiment mitig\u00e9 : il est \u00e0 moiti\u00e9 inond\u00e9, il faut pr\u00e9voir l’appoint quand on r\u00e8gle des consommations que l’on pensait incluses et bien que seuls clients, on ne nous a pas propos\u00e9 deux tentes. Rien de r\u00e9dhibitoire, mais pas tr\u00e8s commer\u00e7ant.<\/p>\n\n\n\n
Nous prenons maintenant la route pour rejoindre notre lodge de ce soir, le Plantation Lodge<\/a>, o\u00f9 ce sera bien diff\u00e9rent, pour enchainer sur le parc du Tarangire<\/a><\/strong>.<\/p>\n\n\n\n<\/p>\n\n\n\n
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Partie de chasse avec la tribu Hadzabe, l’une des derni\u00e8res tribu de chasseurs-cueilleurs en Tanzanie et rencontre avec forgerons et \u00e9leveurs<\/p>\n","protected":false},"author":1,"featured_media":2111,"comment_status":"closed","ping_status":"open","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":[],"categories":[222],"tags":[265,267,264,266,223],"yoast_head":"\r\n
Chasse avec les Hadzabe et rencontre des Datoga - Voyages\u00a0en\u00a0Famille<\/title>\r\n \r\n \r\n \r\n \r\n \r\n \r\n \r\n \r\n \r\n \r\n \r\n \r\n\t \r\n\t \r\n\t \r\n \r\n \r\n \n\t \n\t \n\t \r\n