Bien que rapide et impressionnant, Blue Fire est tr\u00e8s doux : pas de saccades, ni de secousses, ce qui le rend tr\u00e8s agr\u00e9able.<\/p><\/blockquote>\n\n\n\n
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Bien qu’il y ait un looping et des inversions, on n’est maintenu qu’au niveau des jambes, un peu comme Shambhala \u00e0 Port Aventura, ce qui procure de meilleures sensations que lorsqu’on est harnach\u00e9 au-dessus des \u00e9paules.<\/p>\n\n\n\n
Le d\u00e9but de l’attraction, en int\u00e9rieur, est calme mais on se retrouve vite devant une porte ferm\u00e9e, puis c’est fum\u00e9e, alarme, etc. et quand la porte s’ouvre on se retrouve propuls\u00e9 \u00e0 100 km\/h en 2,5 secondes.<\/p>\n\n\n\n
Le premier virage est immense et l’on est ensuite envoy\u00e9 vers le looping pour continuer vers des vrilles et autres bosses.<\/p>\n\n\n\n
Bien que rapide et impressionnant, Blue Fire est tr\u00e8s doux<\/strong> : pas de saccades, ni de secousses, ce qui le rend tr\u00e8s agr\u00e9able.<\/p>\n\n\n\n
Pour nous remettre de nos doubles \u00e9motions, nous nous promenons un peu dans le parc. La d\u00e9coration est vraiment r\u00e9ussie. Nous passons d’un pays \u00e0 l’autre, Hollande (o\u00f9 nous ferons Pirates of Batavia<\/strong>, un Pirates des Cara\u00efbes au rabais…), Grande-Bretagne, Russie, pour finir en Gr\u00e8ce o\u00f9 nous nous d\u00e9cidons \u00e0 enfin nous mouiller avec le grand huit Poseidon<\/strong>.<\/p>\n\n\n\n