Strasbourg

Strasbourg

Nous quittons l’Allemagne pour rejoindre Strasbourg, la dernière étape de notre voyage. Après avoir déposé nos bagages à l’hôtel, nous sortons pour aller diner.

Notre hôtel étant dans le centre, nous longeons à pied le canal du Faux-Rempart puis nous le traversons pour aller en direction de la place Kleber. Il n’y a pas beaucoup d’animation le soir manifestement… Nous trouvons un restaurant sympa dans une petite rue, puis nous rentrons à l’hôtel.

Le lendemain, le programme sera plus consistant. Enfin… il aurait dû… Oui, car mon dos, qui donnait des signes de fatigue depuis le wake board et qui avait été encore abimé avec la randonnée imprévue de Chamonix (bon, à l’origine, c’est quand même le tennis qui lui a fait son affaire en 1993), a craqué. Douleur indescriptible, totalement bloqué, couché sur le lit, SOS médecin, piqures, cachets qui endormiraient un cheval, etc. Bref, une fois « stabilisé », Nathalie et les enfants sortent quand même visiter un peu.

Ils iront admirer la cathédrale et se balader le long des canaux. On y trouve les pittoresques maisons colorées et à colombage du quartier de la Petite France. Les maisons et les bords du canal sont fleuris, et avec les reflets dans l’eau, le spectacle est magnifique. Enfin, c’est ce que l’on m’a dit et c’est démontré par les photos.

Malheureusement, avec le temps qu’ont pris mes ennuis, ils n’ont pas eu beaucoup de temps pour la visite. De retour à l’hôtel pour vérifier si tout va bien et s’assurer que je pourrai continuer à survivre tout seul, ils ressortent pour aller au restaurant. Julie a convaincu tout le monde d’aller manger un de ces plats favoris, la tortillas… très couleur local. Il n’en reste pas moins que c’était visiblement excellent.

Le lendemain, c’est le retour. Les 50 cachets font leur effet et, en serrant les dents, je parviens à me trainer jusqu’à la voiture. Là, heureuse surprise, le siège me maintient parfaitement, merci Renault ! Nathalie conduit pour le retour et voilà notre périple terminé. Heureusement que le dos n’a cassé que le dernier jour !

Retour au début